Il y a de nombreux petits métiers à Aubervilliers, parmi les plus fréquents, on trouve :
- Les maïssos : ils vendent des épis de maïs à 1 euro. Il y a 2 manières d'accomoder le maïs : soit à l'africaine, où il sont bouillis avec du sel, soit à l'indienne où ils sont grillés. Ces marchands appellent les clients en disant "maÏsso, maÏsso", d'où leur nom.
- Les pastelles : en fait des glaces faites avec du sirop de fruit congelé dans des petits sacs en plastique. On les réchauffe entre les mains, on mord un coin et on aspire la glacce. En général 20 centimes. Les pastelles sont vendues aux beaux jours par les mamas qui surveillent les petits aux tobogans. Il existe aussi de "boutiques", en fait des maisons où il faut frapper au carreau pour acheter les glaces. Celles-là, on les repère à cause de la file d'attente dans la rue les jours de grosse chaleur.
- Les caddymen : des récupérateurs de métaux qui ratissent les trottoirs de la ville avec un caddy de supermarché ou un caddy de mémé. Très pauvres, ils cassent les télés abandonnées sur le trottoir pour récupérer quelques grammes de métal.
- Les maïssos : ils vendent des épis de maïs à 1 euro. Il y a 2 manières d'accomoder le maïs : soit à l'africaine, où il sont bouillis avec du sel, soit à l'indienne où ils sont grillés. Ces marchands appellent les clients en disant "maÏsso, maÏsso", d'où leur nom.
- Les pastelles : en fait des glaces faites avec du sirop de fruit congelé dans des petits sacs en plastique. On les réchauffe entre les mains, on mord un coin et on aspire la glacce. En général 20 centimes. Les pastelles sont vendues aux beaux jours par les mamas qui surveillent les petits aux tobogans. Il existe aussi de "boutiques", en fait des maisons où il faut frapper au carreau pour acheter les glaces. Celles-là, on les repère à cause de la file d'attente dans la rue les jours de grosse chaleur.
- Les caddymen : des récupérateurs de métaux qui ratissent les trottoirs de la ville avec un caddy de supermarché ou un caddy de mémé. Très pauvres, ils cassent les télés abandonnées sur le trottoir pour récupérer quelques grammes de métal.